Neymar accusé de viol: De nouveaux éléments dévoilés par les médias brésiliens…
Une jeune Brésilienne accuse Neymar de l’avoir violée le 15 mai 2019, dans un hôtel parisien situé près de l’Arc de Triomphe.
De nouveaux éléments ont été dévoilés par les médias brésiliens, mais également par les premiers avocats choisis par la plaignante, qui ont renoncé à assurer sa défense.
Lundi 3 juin 2019, Neymar a reçu la visite de la police Granja Comary, le centre d’entraînement du Brésil. L’attaquant de 27 ans et ses coéquipiers y préparent la Copa America qui débute le 15 juin prochain. Durant 45 minutes, les autorités de Rio de Janeiro ont espéré pouvoir recueillir la déposition de la star du PSG, accusée de viol par une jeune femme qu’il a invitée à venir le rejoindre à Paris à la mi-mai.
La police est repartie bredouille, demandant à ce que le joueur soit entendu le 7 juin prochain. La fédération brésilienne aurait toutefois demandé le report de cette déposition à après le match Brésil-Honduras qui se joue le 9 juin.
Alors que la presse nationale se passionne pour cette affaire, le site d’information UOL a dévoilé le contenu du rapport médical effectué le 21 mai dernier.
Il y est inscrit que la plaignante présentait de multiples hématomes localisés au niveau des fesses et des jambes, ainsi que des problèmes gastriques, une perte de poids, mais aussi des symptômes post-traumatiques.
Dans le même temps, les premiers avocats contactés par la jeune femme ont transmis une lettre à TV Globo dans laquelle ils remettent en cause le témoignage de la plaignante.
La conquête de Neymar leur avait d’abord parlé d’une « relation consentie avec Neymar » qui, « lors de l’acte sexuel, serait devenu violent, l’aurait agressée, ce qui constitue une faute pour laquelle il devrait être tenu responsable civilement et pénalement ».
À la suite à ces déclarations, l’avocat José Edgard Bueno a organisé une rencontre le 29 mai dernier afin d’entamer des négociations et aboutir à un accord financier.
Ce que les représentants de Neymar ont catégoriquement refusé, invoquant une tentative « d’extorsion de fonds. » La plaignante aurait alors insisté pour poursuivre la procédure, se montrant particulièrement pressante. Ses avocats ont alors renoncé à assurer sa défense.
La jeune femme a alors engagé un autre avocat pour déposer cette fois-ci une plainte pour viol, et non plus pour agression. Celle-ci a été déposée le 31 mai au commissariat de Santo Amaro (près de São Paulo).
« Par colère ou par vengeance, les faits rapportés dans le procès-verbal font état d’un viol, alors qu’elle nous avait affirmé avoir été victime d’une agression », est-il écrit dans la lettre du cabinet d’avocats qui précise que l’altération de la vérité constitue « une calomnie punie par le code pénal »,renseigne purepeople.
s senego